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Histoire intellectuelle du libéralisme, by Pierre Manent
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Détails sur le produit
Broché: 252 pages
Editeur : Fayard/Pluriel (12 septembre 2012)
Collection : Pluriel
Langue : Français
ISBN-10: 2818502764
ISBN-13: 978-2818502761
Dimensions du produit:
11 x 1,5 x 17,8 cm
Moyenne des commentaires client :
4.1 étoiles sur 5
14 commentaires client
Classement des meilleures ventes d'Amazon:
64.985 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
Mais que personne ne connait vraiment, le libéralisme !Si vous voulez comprendre le monde actuel, vous devez comprendre ce qu'est le libéralisme, donc, vous devez lire ce livre !Pierre Manent était le disciple de Raymond Aron, grande figure du libéralisme français. On retrouve un peu le style assez compliqué (Aron l'avoue lui-même dans ses Mémoires) du maître, mais dans l'ensemble, c'est un livre très pédagogique, et puis assez court donc il n'en souffre pas.Manent commence par un petit récapitulatif historique, il montre comment les États modernes ont émergés par nécessité de trouver un équilibre entre deux système de pouvoir, l'Empire trop gros et trop gourmand, et la Cité (surtout italienne, Moyen-Âge) indépendante mais trop facile à attaquer.Une fois le décor planté, l'auteur passe en revue les principaux contributeurs du libéralisme (doctrine philosophique à la base), ceux qui ont permis son émergence : Machiavel, Hobbes, Locke, Montesquieu, Rousseau (le premier à critiquer cette doctrine), Constant, Guizot, et enfin Tocqueville. Il n'est pas vraiment nécessaire d'avoir lu tout ces auteurs avant. Leurs pensées sont très bien résumées par Manent, concentrées souvent en quelques lignes très claires et didactiques, comme pour une leçon d'école, par exemple, page 63 : "Dans le langage moral et politique qu'élabore Hobbes, et qui est encore le nôtre aujourd'hui, le droit prend la place du bien. L'accent positif, l'intensité d'approbation morale que les Anciens, païens ou chrétiens, mettaient sur le bien, les modernes à la suite de Hobbes les mettent sur le droit, le droit de l'individu. C'est le langage et la valeur du libéralisme."Page 139 : "Le libéralisme pleinement constitué, et il n'est pleinement constitué doctrinalement qu'avec Montesquieu, est fondé sur deux idées : l'idée de représentation, et celle de séparation des pouvoirs."Mais encore, page 145 : "Le fondement du libéralisme, pour le répéter, c'est la distinction entre la société civile et l'État."Ce livre fonctionne donc comme un manuel, très pratique pour des piqûres de rappel.P-S: Si vous en redemandez, lisez donc le fabuleux Droit naturel et histoire de Leo Strauss, d'un niveau au dessus il faut l'avouer, et même encore plus simple à lire. Pour moi un des livres les plus importants du XXe siècle.
Ce livre du plus haut intérêt nous donne à comprendre l'histoire du "libéralisme" à travers ses pères fondateurs.MACHIAVELSelon Pierre MANENT, celui-ci a adopté la position paradoxale qui consiste à se tenir à l’extérieur de la cité, tout en concentrant son attention exclusivement sur elle. Il se tient à l’extérieur de la cité, non pour y goûter un bien supérieur, mais seulement pour la mieux – espère-t-il – regarder.Ce qui fait l’originalité de MACHIAVEL c’est qu’il fut le premier à adopter sur la chose politique le point de vue de la « science ».HOBBESLe pouvoir générateur de sa doctrine de tient au fait que chez lui l’aspect d’hypothèse et l’aspect de réalité de l’état de nature sont pour ainsi dire indiscernables. Et il faut qu’ils le soient pour que l’hypothèse soit plausible, pour que l’art politique à venir ait un appui dans la nature. Simultanément, HOBBES autorise ses successeurs à distinguer entre les deux aspects : une fois la plausibilité et la fécondité de l’hypothèse établies, la possibilité s’ouvre pour chacun d’en modifier les termes afin de mieux réaliser le but pour lequel elle a d’abord été conçue. L’idée du corps politique,de HOBBES à LOCKE et à ROUSSEAU, sera celle-ci : une souveraineté absolue, diversement conçue, fondée sur, et déduite d’un état de nature diversement interprété.MONTESQUIEULe libéralisme pleinement constitué, et il n’est pleinement constitué doctrinalement qu’avec lui, est fondé sur deux idées :– l’idée de représentation,– et celle de séparation des pouvoirs.L’idée de représentation postule qu’il n’y a de pouvoir légitime que représentatif, c’est-à -dire fondé sur le consentement de celui qui est soumis au pouvoir.Simultanément, parce que cet État représentatif est divisé entre majorité et opposition, division qui prend la suite de la séparation entre exécutif et législatif, ses actes, c’est-à -dire d’abord ses lois tendent non moins nécessairement à être généralement favorables à la liberté des individus. Comme MANENT a essayé de le montrer, le compromis entre les deux pouvoirs se fait bien plus aisément sur le mode négatif que sur le mode positif : chaque pouvoir tend à exercer son pouvoir en empêchant l’autre d’obtenir ce qu’il veut. Ainsi s’accroissent ce qu’on appelle parfois les « espaces de liberté » du citoyen.ROUSSEAULa « contradiction » éclatante de la doctrine politique de ROUSSEAU signale et exige la mise en œuvre d’une nouvelle définition de l’homme : la nature de l’homme est de n’avoir pas de nature, mais d’être une liberté. Par là même, la pensée antilibérale de Rousseau va fournir un contenu décisif à l’être hypothétique à partir duquel le libéralisme s’est construit, l’individu. Le libéralisme n’atteignait son principe, l’individu, qu’indirectement, par le détour de l’état de nature, et l’individu ainsi atteint était même fort peu « libre » puisque son comportement était pour ainsi dire mécaniquement déterminé par la nécessité de fuir le mal, de se conserver; avec ROUSSEAU la liberté devient pour ainsi dire immédiate à l’individu, comme sentiment, à la fois expérience et exigence, de l'autonomie. L’individu du libéralisme n’était pas intérieurement libre, ROUSSEAU n’est pas libéral mais son individu est libre. Il va ainsi fournir aux sociétés libérales le sentiment intime et immédiat par lequel l’individu prend conscience de lui-même, par lequel l’homme s’éprouve ou se veut individu.Benjamin CONSTANTAvec lui, la critique rousseauiste de l’homme ou de l’âme moderne vient au service du libéralisme. Si l’homme moderne est essentiellement divisé entre son indépendance et sa dépendance, entre lui et lui-même par le regard d’autrui et par sa propre introspection, s’il vit donc dans l’élément de la représentation, alors le monde de l’action politique pure, par laquelle chacun se projetait tel qu’il était, naïvement et généreusement, sur la place publique, lui est désormais inaccessible. La constitution sociale et politique doit faire droit à cette division interne, à cette nécessité – à la fois plaisir douloureux et infirmité salutaire – de la « réflexion ». La division entre la société et l’instance politique qui la « représente », qui est peut-être la source première de cette division interne, en est désormais l’expression nécessaire : la loi ne saurait être le « registre de nos volontés » puisqu’en toute rigueur nous ne savons jamais vraiment ce que nous voulons. Elle ne peut, et donc ne doit que refléter le plus adéquatement possible ce que nos actions, nos goûts, nos choix, divers et même contradictoires, ont déjà rendu réel dans la société.TOCQUEVILLEC’est en Amérique qu’il a perçu le plus vivement la menace qu’à ses yeux la démocratie fait peser sur la plus haute des libertés, la liberté de penser. Cette menace ne tient pas aux institutions, qui sont les plus libérales du monde. Elle tient à la transformation que subit l’activité même de penser dans une société démocratique. La condition de cette activité, c’est l’échange intellectuel, l’influence, l’action, le frottement des esprits les uns sur les autres. L’exercice de la pensée suppose que je considère l’auteur que je lis, l’interlocuteur qui me parle comme susceptible de dire le vrai que j’ignorais jusque-là , de bouleverser mon interprétation du monde, et donc ma vie.Le spectacle de la démocratie révèle ainsi à TOCQUEVILLE que ce que le libéralisme considérait comme 1’« hypothèse », ou le « donné », ou le « présupposé » de l’ordre politique légitime, doit être cherché, ou créé, ou construit. L’état de nature n’est pas le commencement de l’histoire politique de l’homme, c’est plutôt son terme ou du moins son horizon. La nature ne se lassant pas de produire des inégalités, des influences, des dépendances, ce « premier » moment ne cesse pas : base continue de la démocratie, il en est la « nature » puisqu’il y est la condition de toute convention, et il donne à l’homme démocratique le sentiment de vivre dans 1’« histoire » puisqu’il le fait vivre à l’intérieur d’un projet dont cet homme est à la fois le maître souverain et la matière docile.
Remarquable écrit d'un intellectuel qui pense bien, écrit bien, et enseigne bien.On y découvre (en résumé, mais cependant lumineux et convaincant) la genèse historique du libéralisme; pourquoi la monarchie a émergé comme solution politique dans le monde occidental après la chute de Rome, et pourquoi elle a ensuite fait place à nos systèmes démocratiques fondés sur l'idéologie libérale.L'organisation en courts chapitres expliquant les apports des principaux penseurs ayant contribué à cette évolution (de Machiavel à Tocqueville) est d'une grande clarté. C'est excellemment raconté, d'une grande fluidité, mais les concepts essentiels (propriété, liberté, égalité) sont exposés avec suffisamment de détail pour ne pas cacher les difficultés intellectuelles qui ont jalonné la route.La double analyse, philosophique et politique, appuyée par une compréhension fine de l'histoire, est vraiment lumineuse.Cela permet sans doute de mieux poser les questions concernant l'état de notre monde occidental. Espérons que Manent nous livrera un jour une lecture critique des temps les plus modernes des temps modernes, au plan politique. Car on ressort au moins de cette lecture avec la conviction que les fondamentaux ont bien changé cependant depuis un siècle, grosso modo:Le libéralisme reste-t-il en effet la seule et inévitable (parce que moins mauvaise) solution politique? Et comment assurer un fonctionnement idéal (dont nous nous sommes semble-t-il singulièrement écartés)?
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